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une prouesse technologique mais un flop côté vente

Sur la trentaine d’oeuvres d’art contemporain proposées pour la première fois à la vente dans le métavers et à Paris, seul un lot a été vendu.

Une première vente aux enchères d’oeuvres d’art contemporaines NFT, organisé mardi dans le métavers et simultanément dans un lieu physique à Paris, un nombre de curieux mais s’est vendu par un piètre résultat, seul un lot ayant été vendu, selon les organisateurs.

Seule une création unique en 3D d’une cathédrale imaginée pour la planète Mars an intéressé les acheteurs, environ 40 présents physiquement lors de la vente sur l’île Saint-Louis, ainsi que quelques dizaines, é immersents simultanés vertus’ simultanés Interactif du métavers , accessible depuis leur ordinateur, smartphone ou tablette. La «métacathédrale» a été emportée à 15.000 euros, selon Claude Aguttes, commissaire-priseur de la vente, à la tête de la maison éponyme qui avait déjà vendu sous forme de NFT le premier SMS de l’histoire, 107.000 euros décembre.

Une cinquantaine d’oeuvres d’art visuels (peinture, vidéos, photos, mode, design) et sonores numériques d’une vingtaine d’artistes contemporains émergents internationaux insi que du maître japonais de l’esté é é le voient cette vente. Une trentaine seulement ont finalement été proposés à la vente. « Nous savions qu’il n’y aurait probablement pas de record mais c’est l’organisation technologique de cette vente qui est importante. C’est l’avenir, beaucoup de gens ont assisté à l’événement avec plaisir et curiosité mais n’ont pas osé enchérir, c’est un bon démarrage ! » s’est toujours réjoui Claude Aguttes.

Première mondiale

Avec un commissaire-priseur et des enchérisseurs présents dans le métavers qui pourrait interagir comme dans la vie réelle, il s’agissait d’une «première vente aux enchères de ce type dans le monde»à la différence de ventes aux enchères en ligne, organisé un peu partout sous l’appellation “métavers” mais qui n’en sont pas encore, estime la maison de vente.

Toutes les oeuvres d’art proposées ont été créées à partir d’une réalité physique ou d’algorithmes, puis numérisées et rendues immatérielles grâce aux nouvelles technologies. Chacune est titulaire d’un certificat de propriété et d’authenticité appelé “jeton non-fongible” (non fongible token en anglais, NFT), qui en fait sa valeur. Ce petit objet numérique révolutionnaire est enregistré dans la « blockchain », sorte de «coffre-fort d’internet» permettant la sauvegarde codée des œuvres, leur traçage et leur certification.

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